L’heure est aux mélanges, nous assure la Liégeoise qui ouvrait en fin d’après-midi la scène de l’Aquarium aux Ardentes. Sa griffe ? Un mélange, justement, de dubstep, d’électro, de deejaying, d’emceeing et de quelques autres choses encore. Divine (tout simplement parce que « Ludivine »), managée par DJ Sonar, nous a expliqué le comment du pourquoi après son live de 40 minutes.
Un live pour le moins éclectique, joué tout à côté des Tropic déchaînés, qui n’a pas manqué de rameuter ceux qui préfèrent les beats aux riffs de guitares. La demoiselle a déjà un album dans ses cartons, il est annoncé pour la rentrée. Petite précision : ce n’est pas que du dubstep (qu’elle a découvert à Copenhague en 2002/2003). « Et le dubstep, je ne le prends pas comme une mode. Il y a du chant dans ce que nous faisons, et c’est proposé autrement que comme un dj set. Je ne dirais pas que ce que nous faisons est plus intéressant ; nous en utilisons les codes à notre manière. »
Divine, c’est quoi, finalement ?
Divine, d’où viens-tu ?
Divine, ou vas-tu ?
Propos recueillis par
Didier Stiers